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Face à l’avènement de nouvelles tendances de travail et d’une génération aux aspirations différentes, les entreprises repensent leurs bureaux pour rester attractives. Quatre acteurs du monde entrepreneurial ont tenté d’esquisser un début de réponse à cet enjeu fondamental. L’occasion de mieux cerner les contraintes de leurs directeurs immobiliers. L’opportunité, aussi, d’imaginer notre bureau de demain.
« Les Français sont, en quelque sorte, les mauvais élèves du bon travail. En clair, le niveau de richesse économique de la France par rapport au paysage européen se trouve en décalage avec les conditions qu’elle offre à la réalisation d’un travail de qualité. Résultat : les Français s’éloignent de leur travail par insatisfaction. » Invitée à s’exprimer lors d’une table ronde organisée par l’Institut de l’Épargne Immobilière et Foncière sur le sujet des bureaux de demain, la directrice de l’observatoire Boson Project Rose Ollivier propose d’emblée de faire un pas de côté. Il faut dire qu’aujourd’hui, seul le quart des Français déclarent que leur travail occupe une place très importante dans leur vie, contre 60 % en 1997.
Déçus par l’incapacité du travail à les épanouir, ils lui tournent le dos. Constat implacable accentué par la crise covid, à la suite de laquelle de nombreux chefs d’entreprises ont choisi de repenser leur attractivité. Semaine de travail à quatre jours, développement du télétravail, individualisation des conditions de travail… « Cependant, les entreprises se sont concentrées sur l’enveloppe du travail en passant, peut-être, à côté
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