En bref en IDF (94, 78)

VAL-DE-MARNE

Une intervenante sociale en commissariat à Charenton-le-Pont

C’est un pas de plus dans la lutte contre les violences conjugales et l’aide aux victimes. Une intervenante sociale en commissariat (ISC) a pris ses fonctions début juillet au sein de la circonscription de sécurité de proximité de Charenton-le-Pont, qui couvre les communes de Charenton-le-Pont et Saint-Maurice. Ce poste, issu d’une convention triennale de partenariat et cofinancé par l’État, les communes et la Caisse d’allocations familiales, est le troisième créé dans le département du Val de Marne, après ceux installés dans les commissariats de Fontenay-sous-Bois puis Créteil l’an dernier. Objectifs : optimiser et individualiser la réponse à la détresse sociale détectée par un service de police.

Localisés au sein des locaux des commissariats, les ISC traitent de problématiques sociales, souvent dans l’urgence. Ces intervenants sont amenés à effectuer des missions d’écoute, de prévention, d’évaluation sociale et d’orientation vers les services sociaux de droit commun. Mobilisés principalement sur les violences conjugales et intrafamiliales, ils peuvent également intervenir sur des problématiques sociales plus large allant de la précarité à des problématiques psychiques. Les ISC sont habilités à recevoir toute personne majeure ou mineure qui rencontre des difficultés, ou à se saisir d’une situation identifiée par les services de sécurité de l’État et à solliciter les services compétents pour une prise en charge.

L’intervenante sociale en commissariat qui a pris son poste le 4 juillet exercera 60 % de ses missions au sein du commissariat de Charenton-le-Pont et 40 % de celles-ci au sein des communes de Charenton-le-Pont et Saint-Maurice. Ce poste est co-financé par l’État, la Caisse d’Allocations Familiales du Val-de-Marne et les deux communes.

YVELINES

En 2022, les Yvelines font encore leur cinéma 

L’événement « Les Yvelines font leur cinéma », organisé par le Département, est de retour depuis le 19 août pour sa 11^e édition. Lors de ce festival du septième art qui se tiendra jusqu’au 17 septembre, 78 séances seront proposées, en plein air et gratuitement, dans 78 communes. Au programme durant ce mois, des dessins animés, des comédies, des films d’aventure, de science-fiction, mais également des œuvres cultes comme Ghost, Jumanji ou encore La folie des grandeurs. Chaque séance débutera à la tombée de la nuit, et des transats seront installés pour profiter au mieux de la projection. 

Il sera notamment possible de regarder Intouchables le lundi 29 août au parc Bernard-Fourmont de Maule. Juste avant la rentrée scolaire, les plus jeunes pourront s’amuser devant Shrek, le mercredi 31 août au château de Buc. Parmi les films les plus récents, on pourra retrouver Yesterday, film décrivant une réalité parallèle dans laquelle les Beatles n’auraient jamais existé, sorti en 2019 et diffusé le jeudi 25 août à l’école élémentaire de Cernay-la-Ville. En salles durant l’année 2020, 10 jours sans maman, avec Franck Dubosc et Aure Atika, sera montré au jardin de la salle des fêtes de Gressey, le dimanche 11 septembre. L’événement se terminera le samedi 17 septembre par la diffusion de Stardust, le mystère de l’étoile à Boissy-sans-Avoir, M. Popper et ses pingouins à Fontenay-Mauvoisin, et Mia et le lion blanc à Paray-Douaville. 

Des animations pourront être proposées par les communes d’accueil en amont de la projection, avec la possibilité de pique-niquer, et de profiter, selon la programmation, d’une restauration sur place.