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Lors de sa dernière assemblée générale, l’association Femmes de Justice s’est notamment questionnée sur les « ressorts de la prise de parole et du silence des femmes ». Femmes qui, si elles ne sont plus exhortées à se taire, occupent désormais l’espace public, certes, mais tout en apprenant à « rester à leur place ». La faute à un imaginaire collectif infondé et à un héritage historique solidement ancré, ont estimé trois spécialistes.
« Il faut faire entendre votre voix. C’est important, car très souvent, les femmes ont intériorisé les valeurs qu’elles estiment être des valeurs masculines, comme l’ambition ou la compétitivité », a martelé la Première présidente de la Cour de cassation, Chantal Arens, à l’attention d’un public très majoritairement féminin, lors de l’assemblée générale de l’association Femmes de Justice, le 6 mars dernier, place Vendôme.
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