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Les avocats présents au Salon de l’agriculture 2022


vendredi 25 février 20224 min
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25/02/2022 10:03:52 1 1 2847 10 0 1574 2701 2782 En bref en IDF (92, 94, 91)

HAUTS-DE-SEINE 

« Donnez des jambes au cœur » : la Ronde du hibou, la course caritative qui améliore le quotidien des enfants hospitalisés

 

Le 27 mars prochain, chaussez vos baskets et « donnez des jambes au cœur » en participant à la nouvelle édition de la Ronde du hibou, une course caritative organisée par l’association du Plessis-Robinson Athletic Club. Pour cette 6e édition, les coureurs plus ou moins aguerris prendront le départ au Plessis-Robinson, pour un urban trail de 5 ou 17 kilomètres. L’ensemble des bénéfices résultant des inscriptions et des dons (particuliers et entreprises) sera entièrement reversé à l’hôpital Marie Lannelongue afin d’améliorer le quotidien des enfants hospitalisés en cardiopédiatrie.

Alors que l’année dernière, les bénéficies (7 062 euros et 416 participants, un record !) ont participé à l’acquisition d'une imprimante 3D pour les modélisations en pédiatrie cardiaque et à la modernisation des salles de soins pour les plus petits, cette année, les fonds récoltés contribueront au financement de matériel dans le cadre de la chirurgie mini-invasive guidée par l'image. Cela permettra une prise en charge optimale des enfants ayant une malformation cardiaque congénitale accessible à un traitement par les vaisseaux.






Face au succès de l’année précédente, et pour permettre à tous les coureurs de participer, les organisateurs ont cette année renouvelé l’expérience en organisant une course virtuelle les 12 et 27 févriers derniers. Les inscrits étaient invités à marcher, courir ou pédaler, sur la distance de leur choix, seul ou en famille, et à se prendre en photo durant leur course.

 

Renseignements :

Frais d’inscription de 5,99 euros - Inscriptions sur le site www.plessis-athle.fr/nos-organisations/ronde-du-hibou-2022/

 



 

VAL-DE-MARNE

Polluants et incinérateur d’Ivry-Paris XIII : pas de causalité établie, mais la prudence est de mise

 

Le syndicat mixte français d'Île-de-France spécialisé dans le traitement et la valorisation des déchets ménagers et assimilés (Syctom), les élus de Charenton-le-Pont, d’Alfortville et du 13e arrondissement de Paris, des représentants des services de l’État (DRIEAT) et de Suez qui exploite de l’unité de valorisation énergétique d’Ivry/Paris XIII se sont rencontrés le 11 février, pour évoquer leurs inquiétudes suite à la publication de l’étude de ToxicoWatch commanditée par l’Association 3R. Toutefois précise 3R, cette étude n’est pas exhaustive et n’établit pas de relation directe entre la concentration de polluants et la présence de l’usine. Selon la Direction régionale et interdépartementale de l’environnement, de l’aménagement et des transports (DRIEAT), les résultats des mesures de surveillance de l’incinérateur de ces dernières années sont conformes aux seuils de tolérance. Pour le Syctom les contrôles menés concernant des dioxines dans les fumées de l'installation d'Ivry/Paris XIII indiquent une situation correcte au regard de la règlementation. Les relevés restent deux fois à cinq fois sous les valeurs prescrites par la règlementation française, transcription nationale de la directive européenne. Les élus ont réclamé une étude plus pointue sur les dioxines permettant de définir leurs sources (brûlages divers, feux de jardins ou de chantiers...) dans un phénomène global.

Tant que des causalités concrètes ne sont pas mises en évidence, l’Agence Régionale de Santé (ARS) recommande la prudence. C’est-à-dire la non-consommation des œufs et produits des poulaillers privatifs situés dans le voisinage de l’incinérateur (Ivry, Charenton, Alfortville, 12e et 13e arrondissements de Paris). Il en va de même pour les fermes et jardins pédagogiques du secteur.

Pour rappel, en 2020, selon le SYCTOM, les concentrations en dioxines mesurées autour de l’incinérateur étaient globalement du même ordre de grandeur que celles retrouvées sur les sites témoins éloignés. Cependant, plusieurs travaux de Santé Publique France (2008, 2021) et de l’AFSSA (2005) ont montré que l’imprégnation des résidents aux dioxines avec les incinérateurs d’ancienne génération (avant 1996) était liée à la consommation d’œufs, et de produits animaux produits localement, et non à l’inhalation. D’où les préconisations de l’Agence Régionale de Santé. L’Agence va consulter l’avis d’experts toxicologiques sur la situation, ainsi que Santé publique France et l’Anses. Il s’agit de dresser un constat de la situation locale et régionale en tenant compte de l’évolution des connaissances sur les imprégnations aux dioxines. L’étude ESTEBAN, en particulier souligne l’influence de facteurs environnementaux (activités potentiellement émettrices, densité urbaine…) ou encore l’importance de la production d’œufs issus de poulaillers urbains. 

 

 


ESSONNE

 

Un homme en détention provisoire à Fleury-Mérogis pour violences sur son enfant de trois mois

Comme le rapporte Le Parisien dans un article du 24 février, un homme d’une trentaine d’années a été placé en détention provisoire à Fleury-Mérogis. Il est suspecté d’avoir fracturé le crâne de son enfant de trois mois alors qu’il portait des coups de poing et de pied à sa compagne, laquelle tenait alors le nourrisson dans ses bras.

Les faits se sont déroulés le 21 février à Etampes, en Essonne. C’est un voisin qui a donné l’alerte, après avoir recueilli la jeune femme paniquée et sa petite fille. Le père de famille, immédiatement interpellé, serait déjà connu des services de police pour des affaires de stupéfiants et de violence. Il était sous l’empire de l’alcool au moment de son interpellation. Aux dires du parquet, le procès aura lieu devant la 10e chambre du tribunal correctionnel d’Evry, le 10 avril prochain.

Les jours de la fillette, qui avait été transférée à l’hôpital Necker à Paris à la suite de la dégradation de son état de santé, ne sont aujourd’hui plus en danger.


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