Entretien avec Anne Durez, Présidente de l’Association « Femmes de Loi, Femmes d’Exception »

La montagne nous offre une multitude de loisirs : randonnées, alpinisme, ski de fond, ski alpin, surf sur pistes ou hors-pistes, balades en raquettes, en motoneige, en traîneau, luge, etc.

Derrière ces agapes, cette sensation de liberté, se cache une réalité : un nombre croissant d’accidents qui nécessitent des interventions. Les frais de secours et de recherche en montagne sont particulièrement élevés. Les assureurs ont d’ailleurs établi depuis longtemps des grilles et des statistiques.

Une chute, un bras cassé, une entorse, une collision sont le quotidien des équipes de secours et de soin. Le prix à payer de ces loisirs sportifs peut être lourd de conséquences et même engager le pronostic vital. La réparation corporelle laisse place à la réparation judiciaire et financière. La problématique sera de déterminer, non pas qui a tort ou raison, mais plutôt qui est responsable du fait dommageable.

À travers un balayage de la jurisprudence seront tour à tour analysés l’obligation de sécurité lors des phases d’embarquement et de débarquement des remontées mécaniques, mais aussi la recherche des responsabilités lors de collisions sur pistes.

Une chronique de droit comparé analyse la responsabilité civile et pénale en cas d’avalanche de chaque côté des Alpes.

Enfin, l’interview croisée d’un Juriste et d’un alpiniste met en avant une passion commune : la montagne.

Cécile Leseur

Retrouvez l’ensemble des articles dans le Journal Spécial des Sociétés n°21 du 16 mars 2016

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