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PARIS
Révélations, la biennale des métiers d’art, met l’Afrique à l’honneur au Grand Palais Ephémère
Pendant quatre jours, le Grand Palais Ephémère accueille la 5ème édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d’art et de création organisée par Ateliers d’Art de France, qui rassemble plus de 400 exposants venus des quatre coins du monde : créateurs, artisans d’art et manufactures, galeries, designers, fondations, écoles… L’occasion de dévoiler des pièces uniques spécialement créées pour l’occasion.
Cette année, c’est le continent africain qui est à l’honneur ! Le visiteur est invité à voyager et à découvrir des identités et expressions culturelles d’Afrique : la dinanderie d’art du Maroc, le tissage traditionnel revisité du Sénégal, les broderies perlées de l’Afrique du Sud ou encore les pièces jamais dévoilées de la Zambie.
Par ailleurs, lors de cette nouvelle édition, le visiteur redécouvre le « Banquet », qui révèle les pièces les plus spectaculaires issues de 10 pays répartis aux quatre coins du monde. Des territoires de création encore inédits comme la Catalogne, Chypre, les Emirats Arabes Unis, le Maroc, le Nigéria, la Polynésie Française, la Slovaquie, et la Zambie révèlent des pièces spectaculaires de leurs métiers d’art contemporains, aux côtés de la Corée du Sud et du Luxembourg.
Côté exposants, on retrouve des créateurs fidèles tels que l’Atelier Demichelis, créateur de luminaire et mobilier contemporain en bronze, Ulgador, l’atelier de décors métallisés à la feuille, la galerie Arcanes, les œuvres en verre de la Galerie tchèque Kuzebauch. Parmi les nouveaux exposants, les ébénistes du studio Solum Lignum, l’artiste sculpteur Juliette Frescaline, la mozaïste-plasticienne Rozenn Alapetite, le laqueur Nicolas Pinon, la tricoteuse et designer textile Cécile Feilchenfeldt, et bien d’autres encore.
En prime, des visites guidées, des conférences ouvrant le débat autour des enjeux du secteur de la création, des ateliers enfants sur inscriptions, une vente aux enchères et un parcours Hors Les Murs sont à découvrir.
Plus d’informations sur www.revelations-grandpalais.com
HAUTS-DE-SEINE
Avec
le club GOJO-P 92, les entreprises altoséquanaises défendent des JO Paris 2024
responsables
C’est
un événement attendu ! Dans deux ans, avec les Jeux olympiques et
paralympiques d’été Paris 2024, la capitale française sera le décor du plus
grand événement jamais organisé en France. À ce titre, Paris rejoindra le club
très fermé des villes ayant accueilli par trois fois les JO, avec Londres et
Los Angeles.
Du 26
juillet au 11 août 2024, la France sera le centre de l’activité sportive
mondiale. Une attractivité qui profitera assurément au département des
Hauts-de-Seine, qui participe à l’événement en accueillant pas moins de quatre
compétitions (hockey sur gazon, natation, waterpolo et para natation) au Stade
départemental Yves-du-Manoir à Colombes et au Paris La Défense Aréna à
Nanterre. Il héberge également quatre sites d’entraînement, compte 13 communes
désignées comme centres de préparation, et 32 villes labellisées Terre de Jeux
2024. Face à cette dynamique, les entreprises altoséquanaises espèrent bien,
elles aussi, en profiter. Oui, mais pas à n’importe quel prix.
À
l’heure où l’écologie et la cohésion sociale apparaissent comme des enjeux
primordiaux, les JO se présentent aussi comme un accélérateur, comme une
occasion à saisir. Une idée défendue par un collectif d’entreprise qui a lancé,
le 23 mai, le club GOJO-P 92. Créé sous l’égide de la CCI Hauts-de-Seine, ce
regroupement entend profiter des opportunités offertes par des JO éthiques et
responsables, pour améliorer l’attractivité économique des entreprises et du
territoire des Hauts-de-Seine.
Dans
ce cadre, le club GOJO-P 92 s’est donné trois objectifs : placer les Jeux
olympiques et paralympiques de Paris 2024 au cœur de la relance et ainsi,
permettre aux entreprises du 92 de dynamiser leurs activités ; encourager
les projets territoriaux, accélérateurs de transition écologique ;
valoriser l’engagement des Hauts-de-Seine (acteurs économiques, territoires,
habitants et étudiants) pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris
2024.
Pour
fédérer les entreprises autour de projets d’avenir, le club organise des
événements. « Réseau convivialité et attractivité » et « Les
entrepreneurs pour le sport » ont lieu chaque trimestre, tandis que
l’événement « Jeux durables et emploi » se déroule une fois par
semestre.
L’adhésion
au club, exclusivement réservée aux acteurs économiques des Hauts-de-Seine,
s’effectue sous la forme de contributions aux événements. L’adhésion offre aux
entreprises « la possibilité
d’élargir leurs réseaux d’affaires, d’accéder aux marchés du Grand Paris avec
davantage de facilité, de promouvoir leurs engagements liés au développement
durable, à l’insertion et à l’inclusion et de valoriser des sujets tels que le
sport, la santé ou la jeunesse », précise un communiqué commun de la
CCI 92 et du Département.
ESSONNE
Deux
collèges récompensés pour leurs créations sur le thème de l’égalité
femmes/hommes
Cette
fois encore, les collégiens d’Essonne participant au concours de la devise
républicaine, lancé en 2016 par le Département pour sensibiliser aux valeurs de
la République, ont fait preuve de créativité !
Chaque
année, les élèves ont pour mission de réaliser une œuvre sous la forme de leur
choix autour de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, selon un thème
défini. Pour cette nouvelle édition, c’est sur l’égalité femmes / hommes que
les candidats ont dû plancher. Sept collèges essonniens s’y sont frottés, et
ont ainsi présenté huit projets au jury.
Le
16 mai dernier, les lauréats du concours ont été récompensés en présence de
Jérôme Bérenger, vice-président en charge des collèges et de la réussite
éducative.
Sur
la première marche du podium, pour son texte engagé (et illustré !) au sujet de
l'investiture d'une femme au poste de maire, le collège de Charles Péguy
de Morsang-sur-Orge a reçu une subvention de 5 000 euros.
Le
collège Alexander Fleming d’Orsay, auteur d’une vidéo dénonçant les clichés sur
les femmes, intitulée « Joséphine, Simone... et le frigo à remplir »,
et qui détourne la fameuse affiche de la seconde guerre mondiale de J.
Howard Miller « We can do it », a également été distingué. L’établissement
s’est vu remettre une subvention de 2 000 euros.
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