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samedi 8 janvier 20222 min
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HAUTS-DE-SEINE 

Start’her et la commune de Suresnes organisent leur première journée dédiée à l’entrepreneuriat féminin


 

C’est une première ! Le 15 février, prochain se tiendra à Suresnes la première journée dédiée de l'entrepreneuriat féminin dans les Hauts-de-Seine. Créé par l’association France Active MétropoleStart’her, en partenariat  avec la mairie de Suresnes, présentera son nouveau programme d’accompagnement et d’initiation à l’entrepreneuriat dédié aux altosequanaises.

Durant cette  Journée, les entrepreneuses du 92 auront «  l’occasion de se rencontrer et de renforcer leurs ressources, en donnant un coup d’accélérateur à leur projet ou leur entreprises », assurent les organisateurs. L’occasion aussi pour ces femmes innovantes de rencontrer les acteurs pouvant les accompagner dans leur parcours professionnel, via la mise en place de tables rondes notamment consacrées aux freins au financement et à ses solutions ou à l’entrepreneuriat et l’ESS. Des ateliers seront également organisés : « Ces activités porteront notamment sur la communication, la posture de cheffe d’entreprise, le développement commercial, le financement, tout en leur permettant de créer ou d’enrichir leur réseau avec des entrepreneuses aguerries », précise France Active Métropole. Bien que dédié aux entrepreneuses, cet événement est ouvert aux hommes entrepreneurs, rappelle l’association. L’accès est gratuit.

 




ESSONNE

Au domaine départemental de Chamarande, une année artistique sous le signe de l’animal

 

Depuis 2001, le domaine départemental de Chamarande fait dialoguer l’histoire et le contemporain, le vivant et la création, l’art et la nature. En 2022, il abordera une autre facette de la relation entre la culture et la nature, en consacrant son programme d’expositions aux liens entre l’homme et l’animal.

Il faut dire que depuis l’art pariétal préhistorique jusqu’aux œuvres les plus contemporaines, les animaux sont régulièrement au cœur de la création artistique. Certaines s’envisagent cependant moins comme de simples représentations que comme des passages entre deux mondes. Des œuvres chargées d’une intention : provoquer la rencontre et l’apprivoisement mutuel, voire une métamorphose.

Les « glissements » semblent présents partout, en particulier dans les cultures populaires d’hier et d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs. Ainsi les animaux parlent, pleurent et rient dans les dessins animés de Walt Disney comme dans les fables de La Fontaine et les mythes des Nez-Percés du Nord-Ouest américain. Les sculptures d’hommes-lions du paléolithique font autant échos aux centaures grecs qu’aux loups garous de la saga Twilight et aux hommes léopards babembe du Sud-Kivu (République démocratique du Congo).

Aujourd’hui, de nombreux artistes investissent à leur tour la figure et le corps de l’animal pour questionner les rôles et les identités jusqu’alors assignés à chaque être vivants, voire s’en libérer.




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