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Le monde moderne se robotise, la réflexion humaine laisse place aux ordinateurs, de quoi inquiéter de nombreuses professions, dont celles du droit. L’AFED et L’IERDJ se sont réunis à Nice mercredi 18 octobre pour le débat « Structures de marchés et modèles d’affaires dans le monde du droit : entre adaptations et transformations face aux enjeux numériques », qui évoquait ces craintes et l’avenir du domaine.
Croiser le regard de juristes et d’économistes, tel était le but de la conférence organisée, le mercredi 18 octobre à Nice, par l’Association française d’économie du droit (AFED) et l’Institut des études et de la recherche sur le droit et la justice (IERDJ). Il s’agissait de mettre sur la table une crainte partagée, celle de la place de l’intelligence artificielle (IA) dans le marché du droit. L’entreprise Goldman Sachs a annoncé dans son étude de 2023 que 44% des obligations des professionnels du droit pourraient être réalisées par de l’IA générative. Cette intelligence n’est plus cantonnée à l’accomplissement d’automatismes. Les utilisateurs font maintenant appel à sa créativité. À son opposé, l’IA analytique applique uniquement des recettes conçues par l’humain. Les données du droit sont déjà
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