Avec son incubateur Momentum Studio, l’Essec mise sur le business interdisciplinaire


vendredi 2 août 20245 min
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Spécialisé dans les deeptechs, les technologies de rupture, le dispositif vise à mettre en commun les savoir-faire des scientifiques, des entrepreneurs et des spécialistes des politiques publiques pour faire émerger des solutions innovantes à « impact positif ».

L’Essec veut doper les start-ups grâce à l’excellence scientifique. Lancé officiellement en mai dernier, mais en germe depuis déjà deux ans, le dispositif « Momentum Studio » de l’école de management vise à « connecter le monde de la recherche avec celui de l'entrepreneuriat » en pariant sur la synergie entre scientifiques et créateurs de jeunes pousses.

Afin de mener à bien ce projet ambitieux qui fédère aujourdhui une dizaine de start-ups, l’Essec sest entourée de partenaires stratégiques et denvergure, tels que le CNRS, CY Paris Université, le fonds d’investissement Erganeo et le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema).

« Avoir une approche business le plus tôt possible »

La dimension collaborative et pluridisciplinaire du dispositif sappuie sur le Pôle universitaire dinnovation (PUI) CY Transfer, dont le chef de file est luniversité de Cergy-Pontoise. Financés via le programme France 2030 et expérimentés depuis 2021, les PUI sont des labels décernés par le ministère de lEnseignement supérieur de la Recherche et de l'Innovation. Composés dun groupement dacteurs de la recherche issue dun écosystème local, centralisé autour des universités, les PUI visent à « structurer et renforcer l'innovation sur un territoire donné », détaille Christelle Le Moullec, responsable du service partenariat et valorisation au CNRS.

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