Le colloque annuel Versailles-Québec aborde l’impact de la santé mentale dans l’accusation criminelle

Un an après leur événement commun consacré à l’encadrement de l’intelligence artificielle, les barreaux de Versailles et Québec ont organisé, vendredi 5 septembre, une nouvelle édition de leur colloque annuel organisé, au théâtre de la Cité Universitaire de l’Université Laval, à l’occasion de la rentrée du barreau de Québec.

Un exercice de droit comparé qui a rassemblé les deux bâtonniers de Québec et Versailles, Samuel Massicotte et Raphaël Mayet. Avec le bâtonnier de Versailles, trois autres intervenants du monde judiciaire provenant du Québec et de la France ont également approfondi le sujet du colloque : Nathalie Duchesne, Juge municipal en chef du Québec, Valérie Bourque, avocate au contentieux du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Chaudière-Appalaches, et Kristell Compain-Lecroisey, avocate au barreau de Bordeaux. Lisanne Chamberland-Poulin, également avocate au barreau de Bordeaux, a quant à elle tenu le rôle de modératrice durant l’événement.

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« Un sujet commun, mais une approche différente dans nos deux pays », a résumé le barreau de Versailles dans un post publié sur les réseaux sociaux. Le bâtonnier de Québec a lui remercié son homologue de Versailles « pour son dévouement et son implication dans cette rentrée », et a appelé à une poursuite et un renforcement du jumelage des deux barreaux, « au bénéfice de tous [leurs] membres ».